Partie de bras de fer ?
La clarté reste à faire.
Le montant du marché
Permet de financer
Les moyens nécessaires
Aux vols sanitaires.
Et toutes sociétés
Qui connait ce métier,
Informée en amont
Prend ses dispositions.
Le délit d’initié
Reste bien sûr à prouver !
Besoin de compétences, respect des procédures ?
Et même emploi local, où est la forfaiture ?
Car la question de fond, c’est bien le financement,
Et qu’on le veuille ou non, ça coûte plus d’argent.
Personne ne conteste la modernisation,
Et les besoins nouveaux des évacuations.
La démarche engagée, par ceux du CHT,
Mérite l’attention car elle est justifiée.
Mais l’utilisateur n’est pas le vrai payeur.
Obtenir en amont l’accord des financeurs,
C’eût été de bon ton, et vraiment plus sincère,
Pour faire l’économie de cette mauvaise guerre.
Grace à Philippe Gomès, qui a fait ses emplettes,
On sait que le RUAMM fait déjà dans les dettes,
Puisque la TSS n’est plus dans ses recettes,
Et pour boucher le trou faudra plus d’une quête.
Une quête, que dis-je ? Plus de cotisations,
Des taxes et des impôts, votre contribution.
Le Mieux, en toute
chose, est un bel objectif,
Mais souvent on échoue
sur un budget chétif.
Références : Article des Nlles calédoniennes du
08/11/2011 « Les secours héliportés sont loin d'être stabilisés » (cliquer)
Sur le même sujet :
19 juillet 2011 : "Le gouvernement cherche ses arguments" (cliquer)
5 août 2011 : "Le gouvernement a dix jour pour répondre" (cliquer)
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