Avec les cinq cent francs appliqués par kilo,
Les pâtes à tartiner augmentent nos impôts.
Ça donne de la marge à nos produits locaux,
Mais limite notre choix en freinant Ferrero.
Pour protéger l’emploi que ne ferait-on pas ?
Même si trente pour cent de ces travailleurs là
N’ont pas de garantie sur ces petits emplois,
Souvent au bon vouloir de quelques syndicats ?
D’ailleurs sur un milliard que produit cette affaire
Quelles sont les retombées en termes de salaires ?
Quel est le bénéfice réellement imposable ?
Quelle est la part de marge qui passe sous la table ?
Quelle part de bénéfice est réutilisée ?
Cette petite industrie garde bien ses secrets.
Biscochoc va devoir un peu s’améliorer,
Si Nutella arrive, il faudra le contrer.
Mais le calédonien risque d’être floué
Par des produits de base vendus en quantité.
Qu’il fasse comme Ferrero, leader sur le marché,
Qui a réduit ses marges pour rester le premier.*
* La pâte à tartiner Nutella réussit à déjouer tous les pièges de la
crise : En France, avec Nutella, Ferrero s'arroge 90
% du marché des pâtes à tartiner … Seul bémol, puisque Nutella est beaucoup
moins rentable que les autres produits du groupe, la marge de Ferrero France se
réduit….
Inspiration : Artice des Nlles Calédoniennes du 14/03/2012
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire