Un Salaire minimum, miroir aux alouettes,
Est un outil malsain qui distribue des miettes.
En imposant un seuil qui est démesuré,
Il réduit les emplois, surtout peu qualifiés.
Il diminue le temps réellement travaillé,
Bloquant les employés dans une vraie pauvreté.
Ainsi nos cantinières, qui sont à temps partiel,
N’ont sûrement pas assez pour remplir leur gamelle.
Est un outil malsain qui distribue des miettes.
En imposant un seuil qui est démesuré,
Il réduit les emplois, surtout peu qualifiés.
Il diminue le temps réellement travaillé,
Bloquant les employés dans une vraie pauvreté.
Ainsi nos cantinières, qui sont à temps partiel,
N’ont sûrement pas assez pour remplir leur gamelle.
Un salaire minimum élevé et contraignant
N’a jamais pu lutter contre le dénuement,
Ni réduire dans les faits, les inégalités.
Ce piège à bas salaires est une calamité.
Les promesses de Gomes ont été appliquées,
Et les grilles salariales en sont dévaluées.
Adieu « négociations annuelles des salaires »,
Bonjour « dialogue social » devenu délétère.
Certains pays n’ont pas de salaire plancher,
Mais savent mieux réduire les inégalités.
Ainsi le Danemark, l'Allemagne ou la Finlande,
Savent, par d’autres moyens, répartir des prébendes.
Les politiques y font une redistribution,
En prenant sur l’impôt, ils créent des prestations,
Ciblent les vrais besoins et répartissent mieux
Leurs recettes fiscales sur les nécessiteux.
Ici, les décisions se prennent par la rue.
Il faudrait que chacun réfléchisse un peu plus.
Que les pouvoirs publics ne cèdent plus aux menaces,
Que l’intersyndicale retrouve enfin à sa place.
Que les politiques gèrent un peu mieux nos impôts,
Que les syndicalistes retournent au boulot.
N’a jamais pu lutter contre le dénuement,
Ni réduire dans les faits, les inégalités.
Ce piège à bas salaires est une calamité.
Les promesses de Gomes ont été appliquées,
Et les grilles salariales en sont dévaluées.
Adieu « négociations annuelles des salaires »,
Bonjour « dialogue social » devenu délétère.
Certains pays n’ont pas de salaire plancher,
Mais savent mieux réduire les inégalités.
Ainsi le Danemark, l'Allemagne ou la Finlande,
Savent, par d’autres moyens, répartir des prébendes.
Les politiques y font une redistribution,
En prenant sur l’impôt, ils créent des prestations,
Ciblent les vrais besoins et répartissent mieux
Leurs recettes fiscales sur les nécessiteux.
Ici, les décisions se prennent par la rue.
Il faudrait que chacun réfléchisse un peu plus.
Que les pouvoirs publics ne cèdent plus aux menaces,
Que l’intersyndicale retrouve enfin à sa place.
Que les politiques gèrent un peu mieux nos impôts,
Que les syndicalistes retournent au boulot.
Pour ceux qui veulent analyser les effets du SMG, voilà un document qui alimentera leur réflexion. Certes il est un peu long (270 pages) mais … travaillons plus pour … comprendre mieux !
Salaire minimum et bas revenus : comment concilier justice sociale et efficacité économique ? (cliquer)
Salaire minimum et bas revenus : comment concilier justice sociale et efficacité économique ? (cliquer)
Inspiration : Article des Nlles Calédoniennes du 28/01/2012
« Premier SMG à 150 000 frs » (cliquer)
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