samedi 17 septembre 2011

« La stratégie Martin face à la vie chère »

Les nouvelles Calédoniennes du 16/09/2011

Une Explosion sociale à la guadeloupéenne,
Ou une récession à la polynésienne ?
Messieurs les journalistes un peu de retenu,
Parce que par vos propos vous exciter la rue.

Une fausse prise du pouvoir par des syndicalistes,
Qui avec du retard, sont encore communiste.
S’ils étaient tant sûrs d’eux, ils feraient une liste,
Pour prendre le pouvoir et être réformistes.

Ils ne proposent rien qui puisse fonctionner.
Ils devaient travailler la productivité,
Mais ils n’en n’ont rien fait, même si ce cher Sudrie.
Leur a bien expliqué que c’est bon pour les prix.

Mais là faut réfléchir, et c’est trop demander,
Ce qui est difficile est laissé de coté.
Car ces chefs syndicaux limitent leur discours
Pour toujours satisfaire ceux qui leur font la cours.

Notre fiscalité n’a pas évolué
Avec Philippe Germain, Gomès l’a bloquée.
Quelques syndicalistes l’ont d’ailleurs bien aidé,
Aidant les industries, ces monopoles de fait.

La  protection sociale ne pourra fonctionner
Qu’avec des impôts et si vous cotisez.
Il serait préférable de créer des recettes
Avant que de donner à ceux qui font la quête.

Partager la richesse par l’intéressement ?
C’est encore les mêmes qui auront plus d’argent.
Ceux qui en ont besoin sont souvent en tribu
Le travail salarié n’est pas toujours leur but.

Faire de la formation ne crée pas des emplois,
Ça permet aux chômeurs de faire valoir leur droit.
Virer les étrangers pour des calédoniens,
Qui doivent accepter de se lever matin.

Le logement est trop cher à cause des équipements
Que tout le monde veux dans chaque lotissement.
Et puis le locatif  revient beaucoup trop cher,
Dans les logements aidés, faites des propriétaires.

Les transports a un coût qu’il faut subventionner
En mettant une taxe sur les grosses cylindrées.
Ceux qui peuvent acheter une belle voiture
Doivent payer pour ceux qui n’ont que des chaussures.

Quant à la concurrence, la production locale
Nous a bien enfermées dans un petit bocal.
Cassons les monopoles et autres protections
et regardons de près ce que nous consommons.

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